vendredi, 31 janvier 2014
Pas de néerlandais, pas de crèche !
La chaîne régionale de la Périphérie flamande de Bruxelles RingTV nous apprend que les crèches de la région flamande devront désormais être affiliées à Kind & Gezin (Enfant & Famille), l'office flamand de la petite enfance. Y compris lorsqu'elles ne sont pas subsidiées — il s'agit alors d'entreprises privées. Le seul problème, c'est que le Législateur flamand a décidé que cette affiliation ne peut se faire que lorsque le (la) responsable de la crèche est en mesure de présenter une attestation d'une connaissance active du néerlandais, même lorsque l'établissement se trouve dans une zone à majorité francophone, et même s'il ne se destine qu'aux francophones.
Il semble que cette connaissance implique 4 à 5 années d'études (à temps partiel), ce qui entrainera des licenciements (de ceux qui ne parviennent pas à obtenir le diplôme ou n'ont pas le temps de suivre des cours du soir régulièrement) ainsi que la fermeture de toutes les crèches dont les dirigeants n'auront pas acquis, d'ici un an environ (la fin de la période de transition) une connaissance « active » de la langue de Vondel. Ceci vaut bien entendu aussi pour les crèches anglophones, par exemple.
Les nouvelles règles font suite à un décret de la Région flamande dont le but est apparemment de renforcer la néerlandisation des crèches de Flandre, et d'inciter à engager plutôt des néerlandophones qui, même s'ils ne maitrisent pas du tout le français, savent au moins le néerlandais — peu importe la langue des enfants eux-mêmes ! D'après Kind & Gezin, tous les responsables de l'organisation de la crèche devront disposer d'une telle connaissance. Le ou la remplaçant(e) du (de la) responsable, également, mais avec une période de transition jusqu'en avril 2019. De plus, il doit y avoir au moins un(e) accompagnateur(trice) au sein de la crèche qui dispose d'un diplôme de néerlandais actif (la forme exacte d'un tel diplôme n'est même pas connue). Et seules les crèches où absolument tout le monde parle couramment néerlandais pourront être subsidiées… Néanmoins, Kind & Gezin a le culot d'écrire que «la langue utilisée dans le lieu d'accueil des enfants est libre. L'article 30 de la Constitution garantit que l'usage des langues est libre en Belgique.» Mais se contredit immédiatement en ajoutant que dans les crèches de langue autre [que le néerlandais], l'on doit «tout de même gérer les langues de manière que le néerlandais ait une place dans le fonctionnement» !
Outre l'entorse au droit de la minorité française de Flandre (environ 360.000 personnes, soit un petit cinq pour cent de la population), il s'agit ici d'un frein évident à la libre entreprise et au libre établissement, dès lors que des conditions linguistiques sont imposées aux propriétaires d'une crèche indépendante et non subsidiée. Le résultat va aussi à l'encontre des engagements mêmes de Kind & Gezin, puisque dans la seule commune de Rhode-Saint-Genèse, la moitié des crèches pourraient fermer, réduisant de moitié les 260 places disponibles et supprimant pratiquement tout accès des Francophones à un accueil de leurs enfants en français. Les crèches néerlandophones étant elles aussi déjà saturées, ils n'auront apparemment d'autre recours que de chercher à Bruxelles, où les places manquent déjà. Mais que voulez-vous ? Les nationalistes ne résolvent jamais les problèmes. Soit ils les créent, soit ils envoient la patate chaude de l'autre côté de leur frontière. Ou, comme dans le cas présent, ils font les deux. J'attends qu'on m'explique en quoi ce décret sert les enfants. À moins bien sûr que pour le gouvernement de Kris Peeters, un enfant francophone n'ait pas la même valeur qu'un enfant flamand.
17:12 Publié dans Humeurs brèves, Humeurs du Nord | Lien permanent | Commentaires (91) | | Facebook | Imprimer | | |
Commentaires
"Outre l'entorse au droit de la minorité française de Flandre (environ 360.000 personnes, soit un petit cinquième de la population), " ?
Ou bien j'ai loupé quelque chose dans le calcul, ou bien c'est une coquille...
Écrit par : Cdt. Sylvestre | vendredi, 31 janvier 2014
Répondre à ce commentaireOui, exact, c'est "un petit cinq pour cent" qu'il fallait écrire et ensuite lire. J'ai corrigé.
Écrit par : Marcel Sel | vendredi, 31 janvier 2014
@Marcel
voici de quoi "vérifier" avec les signatures les centaines de milliers de FR de VL...
une voisine, MR (de famille UF) m'envoie sa pét' :
https://www.lapetition.be/en-ligne/Contre-les-exigences-linguistiques-du-decret-flamand-sur-l-acceuil-de-la-petite-enfance-Tegen-de-taaleisen-van-het-kinderopvang-decreet-13981.html
bàv du hv de b--hv
Écrit par : uit 't zuiltje | mercredi, 05 février 2014
Il faut lire +/- 5% soit l'équivalent de la présence des néerlandophones en Région Bruxelloise.
Pour ce qui est de la discrimination et de la ségrégation vis à vis des francophones en flandre que dire de plus que celle -ci est à vomir tout comme le racisme primaire tellement présent dans une certaine flandre. Mais s'en prendre ainsi aux enfants et aux plus faibles témoigne du niveau atteint par les politique en flandre et ce de tous bords confondus...
Faut il être naïf pour espérer un changement autrement que par la force, la contrainte ou le chantage ?
Écrit par : Philippe | vendredi, 31 janvier 2014
Répondre à ce commentaireAanpassen of oprotten, vriend Marcel. Wie in Vlaanderen wil wonen, voedt zijn kinderen in het Nederlands op.
Écrit par : Lieven | vendredi, 31 janvier 2014
Répondre à ce commentaireWel neen, beste vriend.
Iedereen voedt zijn kinderen op in de taal die hij wenst.
De regionale administratie gebruikt, officieel, het Nederlands als voertaal. Er worden taalcursussen georganiseerd om hen die het Nederlands niet machtig zijn, bij te scholen of een elementaire basis te geven.
Het is voor een ouder handig als hij kan praten met de crèche-verantwoordelijke, maar dat is geen verplichting. Evenmin is het een verplichting voor de crèche-verantwoordelijke om elke taal te spreken die de kinderen thuis gebruiken.
In Vlaanderen moet niemand oprotten omdat zijn moedertaal niet het Nederlands is.
Écrit par : schoonaarde | vendredi, 31 janvier 2014
Une personne agee a d autres soucis que d étudier une langue,l humanisme devrait primer avant tout et je me retiens pour insulter personne de con ,les arrière petits enfants s en chargeront.
Écrit par : Capucine | samedi, 01 février 2014
Tellement .... No comment !
Écrit par : Philippe | samedi, 01 février 2014
Ah bon ? Les Flamands qui s'établissent aujourd'hui en Wallonie parleraient-ils donc français à leurs enfants ? Clairement pas, si j'en crois ce que j'ai pu entendre du côté de Beauvechain, Grez-Doiceau, Frasnes… Et ils ont bien raison.
Et les innombrables familles flamandes de Flandre qui élèvent leurs enfants en dialecte, vous leur dites quoi?
Deux poids deux mesures, comme d'habitude chez vous Lieven.
Vous vivez sur les reliques du passé, du temps où la Flandre étaient l'oppressée linguistique. Mais il faut vous y faire : l'oppression linguistique a changé de bord depuis quelques décennies. Aujourd'hui, c'est la Flandre l'oppresseur, et elle sera jugée comme telle dans le futur, comme la Belgique francophone l'a été en son temps.
Écrit par : Franck Pastor | samedi, 01 février 2014
C'est nouveau Schoonaarde 2014 ? Bravo ;-)
Ceci dit comment encore accepter cette énième odieuse discrimination vis à vis d'enfants de la part d'un monde politique flamand et de ses bras administratifs, plus coupables les uns que les autres de violations des droits fondamentaux Belges et Européens ?
Franchement, n'importe qui travaillant chez kind & gezin devrait se poser une question de conscience de base... Car ce qui est fait ou plutôt, ce à quoi il contribuent ici, c'est juste à vomir..!
Écrit par : Philippe | samedi, 01 février 2014
Les flamands parlent le Néérlandais entre eux?NON.
Pas encore... cela fait juste et quasi 100ans que l'on attend qu'ils s'adaptent à l'extérieur de leur village et qu'ils cessent de s'enfermer dans leur mentalité blédarde (par ailleurs ridiculissime dans l'arriération qu'ils exhibent eux-mêmes).
Les flamands sont les cocus de leurs dominants flamands et ils les suivent, les croient, même la tête dans le mur du çon, ils en redemandent. Un dressage impeccable et réussi, aucun doute à ce sujet. Evidence!
A Bruxelles, les groupes grégaires de flamands occupant t o u s les jobs (sibelgaz fait faire ses travaux par des entreprises... flamandes de flandre profonde, beliris fait détruire ses métros par des entreprises.. flamandes de flandre profonde... etc... et ainsi des centaines-milliers de cas) et aucun ne parle le Néérlandais AUCUN.
Ils parlent entre eux (même les hordes d'écoliers-élèves flamands dans le métro - 16 ou 17ans - parlent patois dialectal entre eux, effarant ces réflexes sclérosés encore en 2013, les bruxellois ne sont pas s o u r d s, ils entendent, et identifient parfaitement la différence entre patois local et langue standard puisque même les néérlandais ne comprennent p a s non plus les flamands à l'esprit et comportement villageois si bloqué ) leur patois ou dialecte local - suffit de marcher en rue à Bxl pour l'entendre - car le néérlandais, on leur a inculqué - l e u r bourgeoisie flamande dominatrice et aliénante - que le néérlandais était la langue des dangereux protestants... tout en leur faisant croire - ha le truc de la p'tite paroisse crédule, crédulité bien ancrée dans les mentalités - que "c'est la fôt du français mauvais; une tactique du leurre habituelle chez les dominants aux mauvaises intentions et aux vrais mensonges purs et durs.
Les flamands ne parlent même pas le Niederdeutsch.
Point barre.(On attend...on attend...depuis des g é n é r a t i o n s qu'ils sortent mentalement de leur b l e d)
Les allemands ruraux-campagnards parlent le Platte Deutsch mais, eux (cerveau fonctionnel?Psychique vivante d o n c plus ouverte) ont compris depuis t r è s longtemps que dès qu'ils s o r t e n t de leur village, il faut s'adapter à un code c o m m u n : le Deutsch ou Hochdeutsch. Et figurez-vous qu'ils n'en font pas un urticaire... drôle, non?
De même l'Auvergnat s a i t qu'il doit aussi adopter le code commun hors de son bled : le français standard. Point barre.
Le culte du terroir (flamand) est une des caractéristiques typiques du fascisme. Point.
Outre les autres et nombreuses caractéristiques (économiques, politiques) du fascisme (prédation, rapine, vol, fraudes, mensonges y forment un tout) . Système auquel la profondissime flandre van vlaanderen van de vlamingen die thuis zijn et autres billevesées pour arriérés villageois purs s'accroche comme une moule à son brise-lames.
Pathétiquement arriéré. Quasi lamentablement psychiatrique.
Manque de bol, la nva ne veut plus l'indépendance.
Ils ont fait les calculs (les vrais, pas les faux qu'ils présentent aux hordes grégaires et crédules frustes qu'ils ont comme public irrationnel et exploité à satiété, sans relâche, quelle ressource inépuisable filon que l'ignorance et la déviance) et les comptes : ils piquent du pognon (des dizaines de milliards par an) à la "Belgique" (sous diverses méthodes bien rôdées : sncb devenue nmbs, travaux, jobs pompés, sous faux bilinguisme - aéroport, ports, routes, santé, etc..et surtout r e t r a i t e s et chômeurs dont une partie est faussement comptabilisée en "malades" en "prépensionnés " majoritairement flamands, sans compter les milliers de milliards d'Euros fraudés .. flandre championne de la fraude, du mensonge et du travail en noir.. un flamand typique de la kultuur catho paroissiale qui structure leur psychique dans t o u t et est encore t r è s visible, gestuelle, grégarisme des femmes, réflexes de mineurs trouillards - a besoin de détourner, de vivre en-dessous, de dévier toujours, un flamand cela n'aime pas la clarté, la vérité, la lumière, la droiture, ce n'est qu'un con-glomérat de petits habitus de petite culture bien catho à l'ancienne et de rance paroisse..) . Dirigés et dominés par l e u r s dominants flamands, ils ne reproduisent que ce qu'ils connaissent (et qu'on leur a ancré bien profond) : dominer, imposer et pour ce, mentir. Et si possible voler.
A ce propos les contacts en français avec nos très hauts bilingues flamands ressortent de séries comiques tellement c'est incompréhensible même dire "oui" ou "non" eux pas comprrrendre..(et ils ne comprennent en a u c u n cas une question simple, telle "Monsieur est-ce qu'il faut vous envoyer le document à vous o u bien à l'autre entreprise?" Eux p a s comprendre la question, d'où la réponse oui mais non direct pas direct.. toi peut dirrrrrectement mais pas direct... rââââh...texto cette semaine au téléphone... pouvez pas répéter la question, et on recommence, et lui pas comprendre car lui bilingue.. et pourtant on choisit des mots s i m p l e s et des phrases simplissimes, même cet effort fatigant de devoir constamment se rabaisser au niveau du volapück pour demeuré quasi analphabète...ne sert à rien - à partir de maintenant j'utiliserai le français compliqué ;-))
La raison pour laquelle je ne leur parle plus qu'en français est que l'on invoque (incantatoire visiblement mensonger et énorme) puisqu'ils ont le job car paraît-il bilingues... donc les encourager à effectivement justifier leur j o b bilingue, non?
Les autres mensonges avérés style stratégie à la Goebbels devenues vérités bibliques ne sont que des prétextes à spoliation, prédation, mensonge et rapine.. tout sert.
A Bruxelles, parlons-leur le français (le vrai pas le volapük basique) dans tous les cas. Sinon l'espagnol (pas le Bable asturien, et sans accent andalou bien que... pour se marrer l'andalou de Huelva est pas mal, quelque vocabulaire savoureux...) ou l'allemand.. (Hochdeutsch, pas le platte Deutsch) et puis je vais prendre des cours d'arabe. Qu'on rigole. (là je pense qu'ils vont avoir encore plusssss peurrrrr, hahaha). Si ça tombe, je vais m'importer une burka, et parler arabe.. juste pour me marrer.
Secouer le petit bourge blédard rance, c'est un plaisir de gourmand. (en flamand, un péché, quoi!Graaaaaave!). Celui qui prend ses h a b i t u d e s pour de pompeuses "valeurs" qu'il proclame partout comme s'il avait découvert l'Amérique tout seul. Bref, le cancre jamais las d'exposer sa rancitude, son formol cérébral, que dis-je, de la proclamer, tonitruant par v(e)aux et par (dé)monts qu'il s'auto-décerne des Prix, des Médailles et s'érige en Repère Immuable.
Le pépère à l'ancienne de son chez-soi, c'est son repère. Le train-train et le patois blédard, c'est l'univers du monde entier pour tous partout tout le temps.
Ah, il faudra e x i g e r aussi que t o u s les Ministres flamands soient aussi bilingues pour du vrai (pas à la Turtleboom ou à la Growels, hein!) parce que pour l'instant, ils ne parlent que le "bilingue" à la flamande blédarde, c'est-à-dire flamand-papou.
(Du français ou allemand, jamais pour du vrai).
Et à Bruxelles, ne pas oublier qu'un homme égale une voix.
Et pas un flamand vaut dix voix. Mémé Grouwels et autres flafla...profonds.. Ministre.. et pourquoi pas Président des USA? Tant qu'on y est.
Et aussi demander à ces descendants de petits fermiers revanchards de suivre des cours d'éducation c i v i q u e (au lieu de frauder des milliards tout en pointant du doigt l'autre ce mauvais..) et d'ouverture au monde.
Quand ils cesseront d'être patoisants et "papousants", toisant le monde depuis leur enfermement dans leur étouffoir du bocal du terroir local.. les poules feront des enfants.
S'étonner que le crypto-fascisme historique systémique des dominants flamands contre-révolutionnaires (bourgeoisie FLAMANDE en FLANDRE) devienne du fascisme dans les faits, c'est comme s'étonner de trouver des oeufs de poule au poulailler.
En attendant, à Bxl, dans les gares, (et stib et ailleurs, magasins, etc...) les annonces quadrilingues se font en:
1.Flamand blédard (rouler les rrrrrrrr) avec accent "de chez nous zoals thuis" Rrrrrrrrrr, n'oubliez pas de bien rrrrrrouler les rrrrrrr (sinon cela les déstabilise au plus haut point, fragiles les blédards, peureux, effrayés, renfermés, bocal et formol sont leur divise). P'tin la Marrrie, rrrramène le fumier... ça sent bon comme à la maison. C'est bien alorrrrrs. ;-) Home is always best.
Les autres, ceux qui ont évolué et se sont donc montrés adaptés psychiquement (preuve de santé mentale):
2. Français standard (bien prononcé-articulé et non pas en wallon lidgeux ou namurois). Pas en Auvergnat. Non plus.
Sans accent local, donc la norme standard civilisé. Et commune. Point.
3. Allemand standard (Hochdeutsch) Pas en Bavarois! Non plus.
(et non Nieder -ou Platte - Deutsch blédard avec accent bavarois) Donc la norme standard civilisé. Et commune. Point.
4. Anglais standard (Queen's English et non pas en Cockney croassant).
Donc la Norme standard civilisé et commune.Point.
Punt aan de lijn.
http://www.levif.be/info/actualite/belgique/des-flamands-sommes-de-parler-un-neerlandais-correct-quand-ils-appellent-les-secours/article-4000512860292.htm
A Moorslede, une petite commune de Flandre occidentale, le bourgmestre a demandé à ses habitants de ne plus utiliser le patois lorsqu’ils appellent les secours.En novembre dernier, un habitant de Moorslede avait appelé les pompiers à la centrale de Bruges pour une machine à laver qui avait pris feu dans son garage. Or à Bruges, on parle un patois flandrien différent de celui de cette commune. Et l’adresse du sinistre n’a pas été bien comprise. Au lieu d’être envoyés sur les lieux de l’incendie à Moorslede, les pompiers se sont rendus à Moorsele, une commune voisine. Les secours ont finalement mis 35 minutes pour arriver à la bonne adresse"
Les flamands si intelligents si modernes (en 2013!!!) doivent ENCORE attendre qu'ON leur dise (le burgmeister local) comme des enfants primaires attendent les instructions de leur institutrice de maternelle.., ce qui est EVIDENT pour tout le monde. Et qui se fait tout seul sans devoir attendre des instructions. Syndrôme du soumis, conduit, dirigé et du mineur d'âge éternellement mené par les "ordres d'en haut". Symptomatiquement puéril. Aliéné modèle.Parangon du gar-çon (net), aussi. Cancres pas las. Les cancres de la vie et de la société civilisée qui tonitruent à la face du monde leur idiotie dangereuse. Continuez à vous montrer. Allez.. la réputation flamande est par ailleurs faite dans le monde. Partout où ils vont, ils se comportent comme chez eux. Voir ce "diplomate" (et oui la "diplomatie dite belge est majoritairement flamande, c'est-à-dire parvenue et sans savoir-vivre, d'une rusticité étroite avérée) flafla à New York se faisant tancer dans un restaurant et organisant.. un scandale.. la claaaaaaaaaaaaassse, comme toujours. Lui pas comprendre (un diplomate.. qui n o u s représente...) que USA pas son bled local ni ses habitudes de paysan... diplomate.. et oui. En plus les new yorkais ne parlent même pas son patois blédard à lui tout seul (donc il est déjà offensé au départ).
Et Kim Gelder, heureusement qu'il a "visité" les crèches....en flamand, hein? C'est le plus important. Non?
Si tu fraudes, voles, mens et détournes du fric (des autres), fais-le en flamand blédard. C'est magique, le flamand blédard.
Ces parents n'ont pas compris qu'on leur offre le passe-partout pour le passe-droit! Winners!
Parler flamand, c'est une 'stuce. Magiiiiiiiique!
Cela permet de mentir, frauder, détourner et en plus, d'effacer tout.
Waaade? Nikkks gebeurrrrrt! (ne pas oublier : bien rrrrrouler le rrrrr et rrrrrouler les autres dans la farrrrrrrrrrrine en même temps!)
Fini, suffit de dire (en flamand du bled) qu'il n'y a j a m a i s eu de fraude, simple(t), rapide, efficace. Dat is nooooooooooooiiiiiit gebeurt!Dat bestaaaaat niet! Ah maaai, och, ach (et autres onomatopées dont ils sont friands à défaut de capacité dialectique mentale, c'est la capacité dialectale qui prime) avec trémolos scandalisés dans la voix. (Regardez De Gucht et ses amis magistrats, magique on vous dit! Comme Dehaene, Delacroix et tant d'autres ..magique,c 'est en flamand.. Mageek... ?) Ni coupables ni responsables. Donc immatures et fiers de l'être.
Écrit par : Démocrate | dimanche, 02 février 2014
@democrate
Vous avez raison:les Flamands ne parlent pas le néerlandais entre eux. Ils s'écrivent toujours en néerlandais et ils lisent toujours en néerlandais, mais ils ne le parlent pas entre eux.
Ce que vous avez entendu dans le métro c'est ce que nous appelons "tussentaal" ou "verkavelingsvlaams" une forme intermediaire entre les dialectes et le néerlandais standard.
Cette langue intermediaire, que j'appelerais par oisivité le flamand, est comprise par tous les Flamands, mais pose problème aux non-Flamands.
Ce ci est dû à la prononciation de ce flamand qui varie selon la région de Flandre d'où vient l'utilisateur. La syntaxe et le lexique sont quasi partout pareils, sauf la phonétique (l'accent quoi) qui varie énormémént (p. ex. entre un Limbourgeois, un Anversois et un Gantois).
Cette phonétique est donc très liée au dialecte de l'utilisateur. Le dialecte lui-même n'est utilisé qu'en famille, entre copains ou d'autres gens du même patelin et est difficile à comprendre pour des Flamands venant d'une autre province.
Les dialectes flamands sont entrain de disparaître rapidement. Encore quelques générations et ils auront compètement disparu, grace à l'enseignement, la radio et la télé.
La prononciation du flamand évoluera lui parallellement avec la disparition des dialectes locaux et se rapprochera de plus en plus du néerlandais standard(version belge).
Donc, il ne faut pas croire que les Flamands le font expres pour vous empoisonner la vie. C'est une évolution linguistique normale.
En ce qui concerne la suite de votre intervention, je n'ai plus continué à la lire après votre remarque sur Kim De Gelder.
Écrit par : schoonaarde | lundi, 03 février 2014
@Schoonaarde, Democrate : en ce qui me concerne, je préférerais qu'on protège et soutienne les dialectes, parce que c'est une part majeure de la culture flamande, une chose dont on parle, qu'on compare, dont on rit. C'est en effet une difficulté pour les nouveaux locuteurs, mais allez donc au Canada en tant que francophone, il y a des gens que vous ne comprendrez pas avant un bon moment d'adaptation !
La Wallonie a perdu sa culture avec la disparition des dialectes. La Flandre est entrée dans une logique jacobine d'imposition d'une langue unique qui me paraît être à l'opposé d'une gestion moderne de la culture ou plutôt des cultures. Je vois déjà avec regret s'en aller tout un pan de la culture bruxelloise quand je dois traduire "schieve" à un jeune…
Écrit par : Marcel Sel | lundi, 03 février 2014
schoonaarde C'est la meilleure vision objective du "Tussentaal" que j'ai jamais lu !
Merci pour votre objectivité @schoonaarde ;-)
En fait le problème reste donc l'imperméabilité de ces pratiques linguistiques vis à vis des autres et surtout les tentations de discriminations sur base d'une non appartenance à ce groupe homogène du fait de ses pratiques linguistiques.
Tentations devenues pratiques courantes dès l'apparition d'un mouvement nationaliste .
Écrit par : Philippe | lundi, 03 février 2014
"schieve", m'enfin, Marcel, çà ne me semble pas bien compliqué: schief = de travers, oblique, tordu, comme le lavabo ou l'architecte, quoi -- wa paas er gâ van?
Écrit par : lachmoneky | mardi, 04 février 2014
pauvre Lieven,
rêvez nva d'une nouvelle vague wallen buiten sur une flandre incapable d'être adulte, toujours les doigts plein de confiture nationaliste moisie au goût misérable
faire "aboyer" nos "arrogants" enfants n'en fera pas des "chiens", soyez-en aussi sûr que nous... :^))
mvg
Écrit par : uit 't zuiltje | vendredi, 31 janvier 2014
Répondre à ce commentaireEt que dire des maisons de repos !
MR sépare du FDF=galère pour les plus faibles.
Écrit par : Capucine | samedi, 01 février 2014
Répondre à ce commentaireLe Geenandertaal et l'arriération mentale ont encore de beaux jours devant eux !
Merci le conséparatisme et Mr le Président Van Rompuy !
Écrit par : Dan | samedi, 01 février 2014
Répondre à ce commentaire"À moins bien sûr que pour le gouvernement de Kris Peeters, un enfant francophone n'ait pas la même valeur qu'un enfant flamand."...
Oui, et...? Pour un Belge, un Wallon tout court n'a pas la même valeur qu'un bon Belch. Ca dure comme ça depuis 1830. Il faudrait s'affoler parce que ça touche des Flamands francisés et/ou pas encore renéerlandisés?
Écrit par : moinsqueparfaitduconjonctif | samedi, 01 février 2014
Répondre à ce commentaire@ Marcel,
oulalla! une entorse à la libre entreprise et au libre établissement!
eeuh, je parie que si j'ouvre une crèche en France, on me demandera de comprendre les avis et instructions des autorités de contrôle. Mais pour franco-Marcel, il n'est que normal que les gestionnaires ne comprennent que dalle des conseils de Kind & Gezin, et en plus, sont incapables d'expliquer ce qui se passe dans leur crèche. C'est à Kind & Gezin de s'adapter! On se fiche de instructions sanitaires, tant qu'elles ne sont pas rédigées en français, et tant que le contrôleur ne parle pas français, elles ne comptent pas pour les francophones. Imaginez les dégâts émotionnels si un petit francophone serait confronté à un mot de néerlandais!
Et qui crie à l'horreur de la sous-nationalité? Marcello, bien-sûr.
Mais je comprend, le seul besoin vital d'un enfant en Flandre est de pouvoir être entouré par la langue française...
et si je ne me trompe, le droit imposant la francisation de la Flandre ne s'applique pas aux personnes juridiques, mais soit, passons. Cela permet encore un billet contre cette méchante Kind & Gezin.
joli Marcel, vraiment joli
Écrit par : wallimero | samedi, 01 février 2014
Répondre à ce commentaire@Wallimero : au lieu de "parier" sur ce qui se fait en France avec un beau procès d'intention en prime, allez plutôt vérifier en France, en Wallonie, à Bruxelles. Ce serait plus cohérent, chouque.
Écrit par : Marcel Sel | samedi, 01 février 2014
Comprendre les règlementations sanitaires et les recommandations, ça requiert une connaissance PASSIVE du néerlandais. C'est parfaitement normal et justifié. Et il y aura toujours quelqu'un pour répondre à un éventuel contrôleur dans sa langue.
Par contre, demander à ce que toutes les parties prenantes aient une connaissance ACTIVE du néerlandais, avec certificat et tout, sinon on ferme tout, ça frise un peu l'excès de zèle. Et spécialement pour une entreprise privée.
Il faut un peu arrêter la mauvaise foi, ça jaunit le teint.
Écrit par : JKevlar | samedi, 01 février 2014
@Wallimero : je ne vois pas ici d'exigence d'un diplôme de français pour ouvrir une crèche privée en France : http://www.plurielles.fr/parents/creer-une-creche-privee-les-moyens-et-la-reglementation-wcod143743.html
Quant à la Belgique francophone, il n'y a pas non plus à ma connaissance de diplôme de très bon niveau de français à avoir. Et je va disez que ça est encore une bon chose, parce que ça deviendre rare les Vlamingen qui savez parleren le bonne française !
Joli, Walli, vraiment joli !
Écrit par : Marcel Sel | samedi, 01 février 2014
"on me demandera de comprendre les avis et instructions des autorités de contrôle" --- il existe des comptables pour s'occuper de votre comptabilité... et des traducteurs ... pour s'occuper de traduire dans votre langue.
Ce décret est tout simplement contraire à la libre entreprise et au libre établissement. En Belgique... ou en Europe.
La prochaine étape sera de posséder une connaissance active du néerlandais pour tout indépendant... question de "connaître la langue de l'administration et des clients"... même si 90% des clients ne sont pas néerlandophones.
Les clients de la boulangerie et du boucher ont bien autant le droit d'être "protégés" que leurs enfants?
Et, in fine, pour rester dans la même logique, pour tout habitant de Flandre.
Ils y arriveront, petit à petit, les nationalistes flamingants.
Un décret de plus qui devra être attaqué... et annulé... des années plus tard.
Écrit par : lachmoneky | samedi, 01 février 2014
Eh oui Walli... J'en avais presque eu les larmes aux yeux...
"Boempataat ! La semaine passée, les sections jeunes du CD&V et du CDH — les frères ennemis de la politique belge s’il en est — ont jeté un gros pavé dans la marre : un programme commun, petite révolution, et pas copernicienne, surtout au sein des JONGCD&V (Jeunes CD&V). Jugez-en : enseignement en immersion, sous-titrage des journaux télévisés sur les chaînes publiques, réforme des institutions locales et communautaires à Bruxelles, création d’un forum multicommunautaire des artistes belges et, l’un des grands tabous du parti en Flandre, mise en place d’une circonscription fédérale ! Le tout sur base d’un constat : «Les difficultés que vivent les jeunes ne s’arrêtent pas à la frontière linguistique»... "
Boempataat ... Sauf que c'est justement aux plus faibles et à nos enfants que des monstres s'en prennent.
Car comment qualifier autrement des gens, ces responsables politiques flamands et leurs relais administratifs serviles dont les valeurs et les ambitions leurs permettent de s'en prendre ainsi à des enfants, des enfants et des familles entières !?
Écrit par : Philippe | samedi, 01 février 2014
Qui veut interagir sur un blog en français, écrit en français, ami...
Écrit par : Florence | samedi, 01 février 2014
Répondre à ce commentaire@Florence : eh non. Sur mon blog, on peut intervenir dans la langue qu'on veut pourvu qu'elle fasse partie d'une des langues que je comprends. Pour moi, la liberté linguistique est sacrée.
Écrit par : Marcel Sel | samedi, 01 février 2014
Quand l'obsession identitaire rend aveugle et obtus il faut s'attendre à tout et l'Histoire a montré et montre encore tous les jours où l'idéologie nationaliste peut mener. Pauvres Francophones aussi médiocrement défendus par leur élus pusillanimes face à l'impérialisme flamingant.
Écrit par : jean simon | samedi, 01 février 2014
Répondre à ce commentaireQuel sens donner encore à la présence en Région Bruxelloise d'une institution comme Kind & Gezin méprisant les droits élémentaires des enfants francophones en flandre ?
Il est temps d'en interdire la présence partout en Région Bruxelloise et de veiller nous même à la mise en place de l’accueil de l'ensemble des jeunes enfants en Région Bruxelloise.
Dès lors, la VGC ou la présence politique flamande imposée en Région Bruxelloise a t'elle un avenir.... La réponse doit être clairement NON et il est temps de le dire et de l'écrire.
Parce que l'ensemble de la Flandre politique et ses associations flamingantes qui détestent Bruxelles et plus encore méprisent les francophones et autres "anderephone", nous refusent le droit de suppléer à ce que toute autorité démocratique normalement compétente devrait assumer... Il est temps de passer à la vitesse supérieure et de faire comprendre que nous avons la volonté, les moyens et l'ambition "d'inviter" cette flandre là à ne plus mettre un seul pied en Région Bruxelloise et bientôt manifestement même plus en périphérie également...Ras le bol ..!
Écrit par : Philippe | samedi, 01 février 2014
@ Philippe,
Tout à fait d'accord, la Flandre doit totalement quitter Bruxelles. Elle ne mérite pas le statut de capitale.
On verra ce qu'il en restera. J'aimerais bien voir une étude ULB sur ce-sujet là.
Mais bon, on pourra déménager le CPAS au palais de la nation, et faire un grand mur autour du quartier européen, question de garder la face.
Écrit par : wallimero | samedi, 01 février 2014
Wallimero, au rythme où les loyers augmentent à Bruxelles, et vu les difficultés des navetteurs qui viennent y travailler, ces travailleurs viendront de plus en plus s'établir près de leur lieu de travail, dans une région accueillante et multilingue. Et les personnes démunies devront quitter le centre pour s'établir en périphérie de plus en plus lointaine... comme cela se passe dans toutes les grandes villes du monde. La Flandre les accueillera avec plaisir en leur offrant des cours de néerlandais.
Bruxelles n'a pas trop à s'en faire pour son avenir.
Quant au poids de "capitale de la Belgique" il est de plus en plus léger au fur et à mesure des réformes successives de l'Etat. La NV-A s'en occupe parfaitement. L'occupation flamande de Bruxelles est de plus en plus inutile et injustifiée. Et pis, ceci ne remettrait même pas en cause le statut bilingue de la région. Mais un bilinguisme aux mains des Bruxellois. Néerlandophone et francophones. Pas aux mains de Limbourgeois (ou autres) importés qui profitent de leur présence pour favoriser, à Bruxelles, ce qui intéresse LEUR région, aux intérêts extérieurs à Bruxelles.
Écrit par : lachmoneky | samedi, 01 février 2014
Mais walli, les études existent..! Celle de la warande estime la moins value pour la Flandre à plus de 30 milliards € par an ! Il suffit pour s'en convaincre de voir la peur de l'ensemble de la classe politique flamande de perdre sa banque ... Sans la Région Bruxelloise la Flandre est pauvre. Pas moi qui le dit mais bien les économistes flamands.
Pour ce qui des CPAS/OCMW* il suffira de prévoir une juste répartition des réfugiés en Belgique pour que la Flandre doivent enfin faire face à ses responsabilités soit assumer plus ou moins 4x fois de réfugiés que ce qui est le cas actuellement.
Eh oui, là aussi la flandre repose toujours sur les autres pour ses obligations...
*n'en déplaise à quelques flamands chagrins, nous protégeons notre micro minorité néerlandophone partout en Région Bruxelloise.
Écrit par : Philippe | dimanche, 02 février 2014
@ Lachmonekey,
je n'ai pas l'impression que le problème de Bruxelles est le trop de personnes démunies qui quittent la ville pour la périphérie...
soit, tu as raison, un avenir rose sans bouchons et avec des loyers en baisse t'attends.
Écrit par : wallimero | dimanche, 02 février 2014
Mais non, Wallimero, l'avenir sera avec moins de bouchons, avec des loyers DOUBLÉS, donc en rose pour certains, en noir pour pour les plus démunis qui devront fuir en Flandre... et appendre le néerlandais... ce qui n'est pas une tare, et me semble même être un plus, hein, Wallimero ;-) --- donc effectivement, un avenir plus radieux, sauf pour les CPAS (heu OCMW) du Vlaams-Brabant: mais la Flandre a les moyens... donc, tout est pour le mieux!
Écrit par : lachmoneky | mardi, 04 février 2014
@ Marcel,
allé, si l'article 2 de la Constitution Française précise que la langue de la République est le français, cela m'étonnerait que l'on puisse introduire un dossier en néerlandais ou répondre en néerlandais si l'administration pose une question.
Bon, si toi tu acceptes que la constitution précise que langue de la Flandre est le néerlandais, je sûr qu'on peut discuter de ce règlement!
la blague la plus grande: "il semble que cette connaisse implique 4 à 5 années d'études (à temps partiel)" toute la francophonie de Bruxelles à eu 4 à 5 années d'études à temps partiel, donc où est le problème? à ce rythme là ils doivent tous être bilingues non?
Ce qu'on demande donc - comme d'hab - de démontrer une certaine capacité à pouvoir communiquer avec l'administration de tutelle. Grand scandale pour les francophones! On doit apprendre le néerlandais! Quelle horreur!
nonnon, nous on préfère une crèche où l'on ne comprend que dalle des instructions de l'autorité de tutelle, du médecin agréé etc, et tout cela pour le bien-être de la francisation de la Flandre.
joli Marcel, vraiment joli
Écrit par : wallimero | samedi, 01 février 2014
Répondre à ce commentaireWallimero : personne ne demande en France à la personne qui gère de prouver qu'il connaît le français. Il devra évidemment se débrouiller pour trouver quelqu'un pour l'aider, comme tous les chefs d'entreprise que je connais en Flandre et qui ne parle pas suffisamment le néerlandais pour échanger avec l'administration (et de même en Wallonie, il y a des chefs d'entreprise flamands qui n'ont pas le niveau pour rédiger une lettre correcte à une administration wallonne et on s'en fout tant qu'ils se débrouillent à leurs frais pour le faire). D'ailleurs, à Paris, on peut déposer plainte dans 6 dialectes chinois différents dans les postes de police du XIIIe arrondissement notamment !
Quand la cheffe d'entreprise que je connais le mieux reçoit à Bruxelles le énième document en néerlandais alors qu'elle a signalé maintes fois qu'elle était de nationalité française, je m'en occupe et ça fonctionne très bien et vite.
Mais ce n'est pas ça que vous voulez. Vous voudriez que tout le monde en Flandre soit néerlandophone. Ça, c'est du racisme linguistique.
Joli, Walli, vraiment très, très joli !
Écrit par : Marcel Sel | samedi, 01 février 2014
Wallimero ne se rend même plus compte des incongruités qu'il raconte, tant il en est imbibé!!
Quantité de professions nécessitent des contacts avec des administrations (contrôles de qualité, de sécurité, de comptabilité...). C'est au PROFESSIONNEL à s'entourer des compétences nécessaires que pour pouvoir assumer ces contacts.
PAS au professionnel lui-même! On demande (en général) au professionnel une capacité de gestion, et, le plus souvent, une connaissance du métier. JAMAIS de la langue. C'est tout simplement contraire à la constitution belge ET au droit européen!
A ce titre, il faudrait prouver une connaissance active du néerlandais pour être hôtelier, restaurateur, ouvrir un snack-bar etc....
Il y a une école européenne à Wezembeek-Oppem. La crèche, qui n'accueille que des enfants européens, devrait donc parler néerlandais? Les accueillants ET les enfants! Car attention, le décret demande qu'on fasse la promotion active du néerlandais auprès des enfants pour être subsidié!
C'est tout simplement à vomir, et les recours en annulation vont certainement pleuvoir (je l'espère)!
Si Wallimero trouve normal cette situation, il devrait trouver normal que la Fedération Bxl-Wallonie adopte les mêmes règles. Exit donc toutes les crèches "européennes"... ou d'accueil dans une autre langue, à Bruxelles. Mais Wallimero se f... de Bruxelles et de l'Europe. Seule la Flandre l'intéresse.
Écrit par : lachmoneky | samedi, 01 février 2014
Je suis nul en communautaire des communes à facilité francophone en flandre autour de bruxelles (constatez ma restriction). Mais je me pose une question de base.
Marcel éclairez-moi!!
Je sais que l'école flamande de Comine est financée par la région flamande.
Je suis nul en communautaire des communes à facilité francophone en flandre autour de bruxelles (constatez la forte restriction de ma nullité!).
Est-il possible d'un point de vue légal qu'une crèche francophone dans les communes que je viens de citer soit construite/financée par la communauté française?
Si non pq??
Parce que les francophones refusent par ce qu'ils n'ont pas l'argent?
Autre raison? Mais pq alors à Comines c'est possible pour les flamands?
Ne serait-ce pas parce que les francophones ont refusé le financement de cette école??? Du coup il y a un précédent!
Si oui:
et bien, que les francophones le fassent et puis c'est tout, y a qu'à augmenter les taxes sur les riches. C'est une question de choix de société.
Vous n'obtiendrez logiquement jamais plus rien des flamands, hélas.
La politique attentiste des francophones du côté de chez Bruxelles est lamentable.
Écrit par : Salade | samedi, 01 février 2014
Répondre à ce commentaire@Salade : oui, c'est une bizarrerie. Je ne me souviens pas des détails, mais si je me souvient bien, l'école de Commines ne pouvait être financée par la Communauté française parce qu'il n'y avait pas assez d'élèves inscrits (deux des parents qui auraient signé n'étaient pas néerlandophones). Mais elle a toléré que la Flandre la finance. Comme quoi quand on fait tout un foin et qu'on est bien organisé, on finit par obtenir ce qu'on veut à l'usure. Il faut constater que les parents francophones de la périphérie ne sont pas organisés, qu'ils ne militent pas, et donc, ils n'obtiennent rien. En général, ils quittent la périphérie s'ils ne sont pas contents et vont voir ailleurs. Il n'y a pas chez eux ce sens du territoire qu'il peut y avoir chez certains flamingants où la terre a probablement plus de "sens" que chez les Francophones. Et puis, Commines a toujours été plutôt bilingue, ce qui n'était pas du tout le cas, par exemple, de Linkebeek ou de Crainhem il y a deux siècles (mais bien de Zaventem et de Hal qui comptaient une forte minorité française historique). Autrement dit, c'est une population souvent relativement neuve qui n'est pas "installée" comme pouvaient l'être les Flamands de Commines. Par ailleurs, la Wallonie ne se sentant pas menacée de flamandisation, elle n'a pas les mêmes réflexes de protection, et pas la même urgence.
Écrit par : Marcel Sel | dimanche, 02 février 2014
Légalement, les Communautés n'ont de compétence que sur leur territoire. Et donc, la Communauté Française n'a aucune compétence dans les communes "à facilités" situées en Région Flamande. Et la Communauté Flamande n'a aucune compétence pour l'école de Comines. Donc, si l'école de Comines est financée par la Communauté Flamande, c'est une pure anomalie due à la tolérance francophone. Les flamingants se sont toujours totalement opposés à un financement quelconque de la Communauté française en "Région Flamande".
Une autre anomalie plus grave: ces écoles en communes à facilités ne sont accessibles QUE aux enfants... de la commune même. Donc, pour une école située à Wezembeek-Oppem ou Crainhem (plus de 80% de francophones), interdiction de fréquentation pour un enfant de Tervueren (commune voisine sans facilités, mais avec 30% de francophones): l'enfant devra aller bien plus loin, à Auderghem ou à Woluwé ---- et interdiction pour un enfant de Woluwé (commune voisine) de fréquenter l'école de Crainhem ou Wezembeek, même... si ses parents y travaillent, par exemple! Les francophones, décidément trop benêts, n'ont jamais attaqué ce genre de dispositions incongrues devant le conseil d'État ou la Cour Européenne.
En ce qui concerne les crèches, pour les communes à facilités, les nouvelles dispositions sont clairement en contradiction avec les facilités elle-mêmes. C'est donc un essai de plus de rendre les facilités caduques.
Écrit par : lachmoneky | dimanche, 02 février 2014
@Marcel
si ça se passe vraiment comme vous le dites à Comines il faut que ça cesse...
sinon les FR ont droit à la même chose dans le rand punt aan de lijn.-
néanmoins j'ai les doutes habituels:
1) le financement de cette école n'est peut-être pas le fait de la flandre, mais d'un pouvoir organisateur étranger, par ex. une asbl hollandaise créée par la VG au pays-bas (et c'est de bonne guerre, c'est ce que les FR font de leur côté en flandre via la france)
2) l'école en question (basisschool "taalkoffer"?)peut être sise 50cm au-delà de la frontière linguistique
3) au-delà des 2 cas précédents (belgo-sous-réalistes) il se pourrait que vous ayez raison et que peut-être la CF[fwb pour les mottes] n'a pas les moyens de payer pour tant de compatriotes FR, et qu'elle est forcément discrète là-dessus (être inspectée en FR par la CF a pourtant fait plus de vagues mais ça ne coûtait pas grand chose)
les écoles FR des communes à facilité sont obligatoirement financées par la VG-flandre qui ne se gène pas pour appliquer ses délires linguistiques sur les enseignants qui y enseignent... l'oeil de K&G sur les crêches a donc un précédent dans l'enseignement fondamental
je m'étonne que dans votre réseau vous n'ayez apparemment aucun enseignant FR qui enseigne en flandre... il pourrait vous raconter tout simplement l'impossibilité de faire carrière ici pour un non-NL, car bien entendu l'"NLorganique"des enseignants FR est évalué par les NL, c-à-d par les merdes flamingantes qui adorent ce boulot... pareil pour les FR qui enseignent le FR dans les humaniora NL et pourtant peu suspects d'être anti-NL.
bàv du hv de b-hv
Écrit par : uit 't zuiltje | dimanche, 02 février 2014
Juste pour info:
pourquoipas.blogs.lalibre.be/archive/2008/08/28/les-mythes-flamands-4-l-ecole-flamande-refusee-a-comine.html
Écrit par : Philippe | lundi, 03 février 2014
Cette nouvelle proposition de loi passera comme toutes les autres, car la Flandre est indépendante. La maison "Belgium" n'est qu'un voile cachant aux yeux du monde la misère chancelante de ses institutions. Bruxelles est une machine à gaz administrative. Elle est l'enfant pour lequel le divorce ne se prononce pas. Maman Flandre veut obtenir le droit de garde. Très drôle. La Wallonie sera indépendante sans imposer le français aux "vrais investisseurs". Elle devra par contre l'imposer aux nouveaux arrivants travailleurs et dépendants de l'aide sociale ou du chômage. Les flamands n'ont pas toujours tort dans leur démarche, s'adapter, c'est aussi apprendre a communiquer dans la langue de la terre d'accueil, sans astreinte (on est d'accord).
Écrit par : Alain.Charleroi | dimanche, 02 février 2014
Répondre à ce commentairele bilinguisme est un plus pour trouver du boulot mais encore faut il avoir face a soi une personne qui vous respecte !
On ouvre des frontières ,on fait tout pour former une Europe unie et voilà le centre de l Europe ,la capitale de l Europe qui subit tout ce que l Europe ne veut pas .
j aimerais bien qu on me dise qui travaille dans ces crèches ,en tout cas dans les maisons de repos a grand rendement dépendant de la région flamande ,le personnel pour la plupart immigre ,mal payé ,est "forme" en Flamand casi incompressible,le principal c est que ce ne soit pas du français
c est peu être un. Truc pour qu on leur fiche la paix .
Écrit par : Capucine | dimanche, 02 février 2014
Répondre à ce commentaireAkkoord met jou Capucine.
Mais la priorité est la connaissance de la langue du territoire. C'est une vision d'insertion socioprofessionnelle à long terme. L'intérêt croissant de l'apprentissage du néerlandais comme 2ème langue en Wallonie semble démontrer que l'ambition à changé de région ... (c'est là que je te rejoins). Les wallons n'ont pas (plus ?) ce problème de repli identitaire que les politiciens flamands imposent à grands coups de lois kafkaïennes à leurs habitants. La Flandre n'est plus l'eldorado belge qu'elle était et s'acharne à faire main basse sur Bruxelles, (l'Atomium probablement)*. Pourrir la vie des francophones bruxellois et des communes à facilités fait partie de sa stratégie.
* petite note d'humour (en bruxellois : LOLEKE)
Écrit par : Alain.Charleroi | dimanche, 02 février 2014
La "...langue du territoire" serait-elle celle de ses habitants? C'est que j'ai rarement entendu un territoire parler?
Une frontière ne voit évidemment jamais de zinnekes: elle est intangible, pure de chacun de ses côtés.
Bruxelles n'existe d'ailleurs pas: ce n'est qu'un espèce de no man's land, peuplée de Wallons et de Flamands, territoire aimablement prêté par déesse Vlaanderen.
Bruxelles en reste donc sans langue et sans voix!
Écrit par : lachmoneky | lundi, 03 février 2014
@ lachmoneky
Judicieuse réflexion :). Je ne dirai donc plus "territoire" mais "région". Donc l'apprentissage de la langue administrative de la région ou l'on réside (c'est bien donc de cela que l'on débat ...) est à mon sens une priorité socioprofessionnelle. En ce qui concerne le socioculturel, chacun est libre de ses loisirs.
Il est vrai que si une personne réside dans une région et travaille dans une autre les données sont différentes. On oblige les bruxellois a être bilingues par "équité" vis-à-vis des milliers de navetteurs venant du nord. C'est vrai qu'ils commandent souvent leur sandwich en flamand.
Je ne sais pas si le reste de ta réflexion est écrite au second degré, tellement elle est réaliste ...
Écrit par : Alain.Charleroi | lundi, 03 février 2014
@ Marcel,
racisme linguistique? il n'y a que les francophones de Belgique qui trouvent normal d'exiger que tout le monde s'adapte à eux, ça c'est de la colonisation linguistique et c'est bien de ça qu'il s'agit gagner à tout prix du territoire. La mentalité de Tintin au Congo est bien là: il suffit d'aller chercher la femme de ménage pour aider monsieur le Baron avec la paperasse. Puréz, on dirait que c'est génétique.
Il faut se réveiller Marcel, la femme de ménage ne parle pas non plus le néerlandais. On ne va revenir dix fois jusqu'a ce que Mônsieu le francophone ait trouvé quelqu'un pour adresser la parole au médecin-conseil.
Oh oui, la France, pays de tolérance linguistique, c'est d'ailleurs pour ça qu'ils ont inventé l'exception culturelle. Et non, la Wallonie n'a pas les mêmes réflexes de protection, c'est pour ça que le portail de la région Wallonne fait de la place pour la belle fédération Wallonie-Bruxelles, pour laquelle elle n'est pas compétente, juste pour marquer les ambitions territoriales, mais n'a même pas une intro en Allemand, minorité linguistique pour laquelle elle l'est.
Moi je n'ai rien contre une Belgique à 3 régions égales. Mais ce sont les francophones qui ont toujours refusé de donner l'autonomie aux germanophones.
@ lachmonekey
les crèches Européennes ont un statut et contrôle spécifique.
pour le reste, un peu de patience svp.
Écrit par : wallimero | dimanche, 02 février 2014
Répondre à ce commentaire@Walli : les premiers à avoir revendiqué bruxelles territorialement ne sont pas les Francophones mais les Flamands, en en faisant leur "capitale". Encore heureux qu'à un moment donné, les francophones aient réagi. Au moins, face à De Wever, on est à armes égales. Bien sûr, pour moi, c'est nul dans les deux cas : Bruxelles doit être une région et les communautés n'avoir que des droits culturels, éducatifs et linguistiques.
Écrit par : Marcel Sel | dimanche, 02 février 2014
Lieven et Wallimero, ce sont des caricatures qu'un troll francophone extrémiste a inventées ou c'est de l'humour borderline à la Dieudonné ? :)))
Écrit par : The Red Baron | dimanche, 02 février 2014
Répondre à ce commentairenon monsieur le Baron, c'est des vrais, d'ailleurs les flamands ne comprennent rien à l'humour FR ;^))
Écrit par : uit 't zuiltje | dimanche, 02 février 2014
"Qu'est-ce qu'on peut faire pour qu'ils comprennent?" (Y. Leterme)
Écrit par : Moinsqueparfaitduconjonctif | dimanche, 02 février 2014
Répondre à ce commentairela flandre le seul pays à s'en prendre à ces personnes dans sa population qui "ne sont pas intellectuellement en état" d’apprendre la novlangue... ?
Écrit par : uit 't zuiltje | dimanche, 02 février 2014
1. Marcelsel : " Il n'y a pas chez eux ce sens du territoire qu'il peut y avoir chez certains flamingants où la terre a probablement plus de "sens" que chez les Francophones."
La démocratie implique qu'une langue ne peut être imposée sur un territoire non défini. Quiconque veut imposer sa langue sur un territoire qui ne lui appartient pas, ne peut se déclarer démocrate.
QUESTION : Qui a fait croire aux francophones que la Flandre était territoire francophone au point de se considérer "minorité linguistique historique" sur le sol flamand ?!
Il n'y a pas de flamand attaché au sol versus francophone attaché à sa langue chez les autres; il y a en réalité des colons qui se croient partout chez eux jusqu'à ce que quelqu'un de plus culotté leur cloue le bec de colon. Comme ont fait les anglo-saxons aux USA à l'égard de cette Louisiane soi-disant française.
La Flandre est en droit d'appliquer chez elle la logique anglo-saxonne, oui ou non ?
2. "la Wallonie ne se sentant pas menacée de flamandisation, elle n'a pas les mêmes réflexes de protection, et pas la même urgence."
C'est qui la wallonie dont vous parlez ? celle qui vote PS depuis 40 ans ? ou celle qui vote MR en espérant s'allier à la NVA flamande et ultra-nationaliste pour placer le PS dans l'opposition ? pourriez-vous cesser de nous faire croire que la wallonie pense, agit et construit en faveur de ses habitants ? Tout est au bord de la faillite...encore quelques années et boum, fini la wallonie.
Quant à Bruxelles, elle n'attire plus les francophones, pourquoi ? elle est pourtant gérée par 19 bourgmestres francophones, donc formatés pour aider les francophones ou pas ? si non, le problème est avant tout francophone, non ? la flandre n'a pas pour vocation de suppléer à l'absence de gouvernance bruxelloise francophone.
Au lieu de dénigrer les flamands et leur nationalisme, et si vous dénonciez l'indolence et la lâcheté francophones, les seules responsables de l'errance francophone du nord au sud de la Belgique ?
Ce n'est pas en attaquant le voisin que l'on remplit son assiette de façon démocratique... Plus je vous lis, plus votre prose anti-flamande me semble relever davantage de la délation que de l'analyse sociologique. Un coup vous invoquez les conventions européens pour attaquer les flamands, un coup vous niez l'europe pour attaquer les chrétiens face aux colons débarqués d'Afrique...
Deux poids, deux mesures, mais en réalité votre cible est toujours identique. Vous ne défendez pas les francophones, vous vous servez de leur cause pour attaquer les flamands ( chrétiens) nationalistes.
ps : Le FDF va se prendre une raclée aux prochaines élections : plus rien à cirer de prétendus défenseurs de francophones qui se servent de la francophonie, comme bouclier antichrétien. Le problème n'est pas le nationalisme flamand, le problème est le refus du flamand de se laisser coloniser par l'afrique, qu'elle soit maghrébine, noire ou juive... Oui, Marcelsel, je vous ai (enfin) compris.
Permettez-moi de vous rappeler qu'Israel ou les USA pratiquent ouvertement le nationalisme patriote, celui que vous reprochez aux flamands... La Flandre ne peut là où Israel ou USA peuvent, pourquoi ? c'est écrit où ? dans quelle convention européenne ?
Écrit par : Wallonie qui ? | dimanche, 02 février 2014
Répondre à ce commentaire@Wallonie : il y a une minorité historique française en Flandre, c'est tout simplement attesté historiquement. Elle est importante dans quelques régions (sud de la Flandre occidentale, Gand, Anvers, Louvain, certaines communes de la périphérie bruxelloise.) Il y a par ailleurs une exigence du Traité de Lisbonne de respecter les communautés historiques. Les Francophones de Flandre, c'est 5% de la population, c'est le taux à partir duquel la minorité hongroise de Slovaquie peut espérer certains droits (mais comme les Slovaques sont aussi un peu nationalistes, c'est difficile, mais bon). Les USA ou Israël n'ont rien à voir dans cette histoire. On ne demande d'ailleurs pas une administration en français, pas du tout, mais le droit pour cette minorité historique d'avoir des lieux de culture autorisés et subsidiés, à hauteur de leur participation à l'impôt, au maximum. Et pour ma part, il ne s'agit pas de "créer" de nouvelles minorités, à Gooik, il n'y a jamais eu de minorité francophone et donc, il n'y a pas la moindre raison d'y financer quoi que ce soit, même pas dans cinquante ans.
Écrit par : Marcel Sel | dimanche, 02 février 2014
@ Marcel,
on tourne en rond là, le jour où la Flandre sera indépendante on peut discuter des droits de la minorité. Mais les francophones de Belgique préfèrent largement utiliser les levier de Belgique pour continuer la conquête territoriale. Entretemps, tu restes un agitateur francophone qui - à partir d'une Bruxelles qui se considère unilingue francophone - appelle à la libération des opprimés culturels sur le sol Flamand. On appelle ça de l'agitation.
Écrit par : wallimero | dimanche, 02 février 2014
@Walloniqui?
avec votre grand père flamand et votre grand père italien, vous n'êtes pas à même de comprendre le FR en flandre,
la wallonie ça n'existe que pour les nationalistes wallons, s'en revendiquer est encore plus con que le flamingantisme, et que le belgicanisme ça va de soi, et que le bruxellisme également si celui-là existait ailleurs que dans les fantasmes wallingants
Écrit par : uit 't zuiltje | dimanche, 02 février 2014
@Walli
"le jour où la Flandre sera indépendante on peut discuter des droits de la minorité."
Pourquoi attendre ? La Flandre a suffisamment de démocrates pour en parler maintenant. Et le jour où la Flandre est indépendante, n'oubliez pas que les autres parties de l'ex-Belgique auront le droit d'y ouvrir autant d'écoles et de centres culturels qu'ils le souhaitent. La pression ne sera pas moins forte, d'autant que pour entrer dans l'Europe, elle devra ratifier sans exception tous les articles de la charte des minorités. Au contraire, si la Flandre proposait maintenant une solution sur base des seuls lieux géographiques où la présence francophone peut être considérée comme historique, elle brillerait et pourrait en revanche véritablement proposer une politique de promotion du néerlandais. On ne promeut pas une langue en l'imposant.
"Mais les francophones de Belgique préfèrent largement utiliser les levier de Belgique pour continuer la conquête territoriale."
Si la Flandre ne cherchait pas tous les moyens pour brimer les Francophones et allophones, il n'y aurait aucune visée territoriale qui pourrait se justifier.
"Entretemps, tu restes un agitateur francophone qui - à partir d'une Bruxelles qui se considère unilingue francophone - appelle à la libération des opprimés culturels sur le sol Flamand. On appelle ça de l'agitation."
Stupide Walli ! Stupide ! Je n'ai jamais considéré Bruxelles unilingue francophone et j'ai toujours appelé au contraire à plus de bilinguisme (trilinguisme) à Bruxelles. J'ai d'ailleurs déjà voté pour des Flamands à Bruxelles. L'agitateur, c'est toi mon gars, tu penses à ma place. C'est du joli, Walli !Vraiment joli !
Écrit par : Marcel Sel | lundi, 03 février 2014
de l'agitation, du gain de sel, le Gain de Main, l'ensemble des instances internationales, la Fédération Socialiste de Wallonie-Bruxelles Élargie (FSWBE), la nauséabondise philippine, le mon-pote-francophonedebruxelles.com,...
On tourne en rond, le PS gagnera de nouveau et Merry Hermanus écrit ses mémoires.
Écrit par : thomas | lundi, 03 février 2014
Walli "... le jour où la Flandre sera indépendante on peut discuter des droits de la minorité" Donc en Belgique, inutile d'accorder des droits aux minorités, comme la minorité flamande à Bruxelles! Joli, Walli, vraiment joli!
"Mais les francophones de Belgique préfèrent largement utiliser les levier de Belgique pour continuer la conquête territoriale."
oui, c'est scandaleux: rendez vous compte: parler français sur le parking C - et pis, parler de l'annexer! et non seulement une conquête territoriale, mais pis une conquête économique: tous les emplois en périphérie de Bruxelles sont déjà aux mains de ces colonisateurs francophones! D'ailleurs, à Bruxelles même, les Flamands ne trouvent pas de boulot: une honte :( (les 250.000 navetteurs n'y viennent que pour s'y amuser, c'est bien connu!)
"Entretemps, tu restes un agitateur francophone qui - à partir d'une Bruxelles qui se considère unilingue francophone - appelle à la libération des opprimés culturels sur le sol Flamand. On appelle ça de l'agitation."
oui, c'est évident, les flamingants n’œuvrent qu'à la paix communautaire, jamais un ton plus haut qu'un autre! Ha oui, j'oubliais que le sol a une couleur flamande du côté pair de l'avenue des Grands Prix, et francophone du côté impair! A moins que ce ne soit l'inverse? Peut-être une question d'éclairage? soleil levant ou couchant?
--- Au fait, où sont donc passés les opprimés culturels flamands? Leur souvenir reste heureusement impérissable! Surtout pour l'ami Walli! Il a un bon alibi, l'ami Walli!
Écrit par : lachmoneky | lundi, 03 février 2014
A Gooik il y a près de 20% de francophones et 15% de citoyens Européens... (A mettre en rapport avec la présence des 5% de néerlandophones en Région Bruxelloise). Quoi de plus normal que d'exiger des autorité communale de s'adapter à la réalité démographique. Pour Rappel, c'est une administration au service direct de ses administrés et financée par eux ! Comment admettre dans une démocratie des bourgmestres flamands qui ont décidé de choisir seuls les nouveaux arrivants dans leurs communes ? Décidément la Flandre est en train de perdre la raison !
letalibandechaine.kazeo.com/reactions-sur-des-sujets-d-actualite/fier-d-etre-belge-mais-honteux-de-voir-ces-flamingants,a1846687.html
Écrit par : Philippe | lundi, 03 février 2014
@Philippe : oui, mais à Gooik, c'est une présence récente, datant d'après l'établissement de la frontière linguistique. Les Francophones locaux savaient exactement à quoi s'en tenir, c'est aussi le sens du droit des minorités HISTORIQUES. On peut considérer qu'elles le sont dans des communes comme Linkebeek parce que leur afflux date d'une époque où dès 30% de Francophones, la commune devenait automatiquement à facilités. De même à Hal parce qu'il s'agit d'une présence ancienne (10% au XIXe siècle) (ce qui ne signifie pas que les facilités doivent aller au-delà d'une aide en françaisou du droit au subside pour clubs/cercles francophones). En revanche, à Gooik, il s'agit d'une présence récente à comparer avec l'afflux de Flamands à Durbuy. La commune peut décider de servir en néerlandais, mais cela ne peut être rendu obligatoire. Il faut que la Flandre reconnaisse son petit côté francophone et l'assume, pas qu'elle subisse une immigration arrogante qui, de facto, modifierait la nature exclusivement néerlandophone administrativement d'une commune après l'autre.
Écrit par : Marcel Sel | lundi, 03 février 2014
M Sieur Sel, cela s'appelle la pression démographique !
Il n'y a aucune solution légale à ce genres de faits car ce n'est juste qu'une question de valeurs... C'est vrai partout ou une pression démographique s’exerce.
Écrit par : Philippe | lundi, 03 février 2014
Au fait, un francophone d'Anvers qui déménage à Gooik ne serait donc plus un francophone reconnu ? Et un Bruxellois francophone qui déménage à Gooik ? Et une flamande du Limbourg qui déménage en Région Bruxelloise..?
Vous mettez le doigt dans un drôle d'engrenage qui se terminera inévitablement mal pour le néerlandais à Bruxelles ! Car la défense d'un néerlandophone en Région Bruxelloise vaut bien celle d'un francophone en Région flamande... Non ?
Écrit par : Philippe | lundi, 03 février 2014
Tant qu'on n'acceptera pas que la Région bruxelloise bilingue, s'étend de fait, que ce soit sur le "sol" flamand ou le "sol" wallon, nous nous retrouverons face à cette incongruité: un territoire qui devrait être homogène, pour une bonne gestion économique, mais qui se retrouve découpée en trois morceaux sous trois compétences différences, à des niveaux de plus en plus importants, à chaque réforme de l'Etat. Une incongruité majeure!
Écrit par : lachmoneky | mardi, 04 février 2014
Que je sache, il n'y a pas de crèche néerlandophone aux États-Unis, ni en Angleterre, ni au Groenland.
Et même si j'habitais la Wallonie et qu'il y avait une crèche néerlandophone en Wallonie, j'enverrais toujours mon enfant à une crèche francophone, sans y voir une injustice quelconque.
Pour moi, le péché originel n'est pas le fait que Jésus ne parlait pas le néerlandais.
C'est sans doute dû à mon âme de flamand raciste. Et au fait que je ne suis pas un FDF.
Je m'en fiche. Juste content d'avoir le privilège d'être né en Brabant flamand (il y a pire dans le monde selon l'OCDE). Content que mes enfants ont le privilège de jouir de l'enseigement de la Communauté flamande (il y a pire en Belgique selon l'OCDE).
Mais n'ayez pas honte de pleurnicher, c'est votre droit!
Écrit par : thomas | lundi, 03 février 2014
Répondre à ce commentaire@thomas : que je sache, il n'y a aucune commune aux USA ou en Wallonie qui soit à majorité flamande, même pas à forte minorité flamande. Vous comprenez que ça change tout ou vous ne voyez que le territoire, le territoire, le territoire. C'est une vision à l'ancienne, ça, vous savez… je ne vais pas dire depuis quand on en est revenu…
Écrit par : Marcel Sel | lundi, 03 février 2014
non, Thomas, et aux Ecoles Européennes, en périphérie de Bruxelles, il n'y a que des crèches où on ne parle que exclusivement flamand. Parce que le sol y est flamand. C'est évident.
Écrit par : lachmoneky | lundi, 03 février 2014
Même les pierres sont flamandes. À s'en fendre la gueule.
Tiens, on n'avait pas sauvé la Belchique ? Zut, alors.
Est-ce que les médias francophones, dont on sait (on s'en doutait) qu'ils ont pour mission sacrée "d'aider Di Rupo", ne se sont pas lancé dans une formidable campagne d'auto-suggestion délirante qui va laisser les francophones Gros-Jean comme devant ?
Comment les scribouillards se convainquent qu'ils font partie d'une élite bien informée, éclairée, introduite.
Alors que, .... boum-patate, et puis c'est tout. Il suffit quand même de lire les journaleux belges pour se convaincre que ces gens-là croient que les livres mordent le nez des lecteurs, et qu'ils sont très prudents.
Écrit par : Pfff | lundi, 03 février 2014
Vous savez comment s'appelle l'émission " The Voice" au Québec?
"La voix"!
Ben oui, le français y est autant menacé que le néerlandais chez nous.
N'oublions pas non plus l'exception culturelle française et la lutte contre les anglicismes.
Écrit par : John | lundi, 03 février 2014
Répondre à ce commentaire"la wallonie ça n'existe que pour les nationalistes wallons, s'en revendiquer est encore plus con que le flamingantisme, et que le belgicanisme ça va de soi, et que le bruxellisme également si celui-là existait ailleurs que dans les fantasmes wallingants"
LOLLLLL
Bref, la Flandre, c'est comme la Wallonie et les USA, la France, l'Italie, la Russie, ouuuuaaaiiiihh mon pote, ça existe pas une fois! Y a rien qui existe, mon petit bonhomme! S'en revendiquéï, ça est vraiment de la grosse zirverderaaaat de plouc, hein, dis!
Je vois que notre bon écolo flamand francophone a encore se procurer de la très bonne...
Écrit par : moinsqueparfaitduconjonctif | lundi, 03 février 2014
Répondre à ce commentaire@moinsque'
ne me dites pas qu'il n'y en a pas de la bonne sur le territoire que demotte revendique pour sa chère nationnette
ça existe le nationalisme et c'est toujours très con et peu jonctif, dans tous les cas où c'est pas jusse tragic, surtout pour les marges ethniques et territoriales...
par ailleurs mettez un carolo et un liégeois dans un bateau et pincez-moi que je rigole plutôt que de croire que je prends les wallons pour des gros "paysans"
flamands unidimensionnels...
bàv
ps(wallon): flamand la nuit, bruxellois le jour et FR toujours, mais chuis pas ecolo, chuis groen, pour dormir plus tranquille avec les impôts que je paie
Écrit par : uit 't zuiltje | lundi, 03 février 2014
Leur combat
À part cela, qui a dit, à part Bart De Wever, qu'il voulait être le nouveau Luther ?
Écrit par : Pfff | lundi, 03 février 2014
Répondre à ce commentaireTout cela m'exaspère mais si la NVA est incontournable, les Wallons, les Bruxellois et les Allemands de la communauté germanophones devraient exiger l'autonomie de chaque région. ( 4 régions pour un petit pays!!!!!- une idiotie qui coûte très cher)
Il serait temps que les francophones de Wallonie et de Bruxelles sortent leurs dents.
A force d'être aimables, on se fera bouffer et quand plus rien ne sera à prendre, on nous laissera tomber comme un kleenex en lambeaux.
Attendons cependant les résultats des élections mais cela n'empêche pas d'avoir un plan ( B pour certains)
Oui, je sais, c'est une réaction extrémiste aussi. Et je ne sais si c'est la bonne réaction mais se laisser gifler sur une joue et tendre l'autre, n'est plus la solution.
Écrit par : Gérard | lundi, 03 février 2014
Répondre à ce commentaireJ'ai reçu une publicité électorale émanant de la NVA. L'utilisation du néerlandais dans les crèches est présenté comme une exigence (eis).
Face à un interlocuteur qui vient avec une exigence, il existe deux solutions théoriques. Premièrement se soumettre. Deuxièmement lutter.
Comme les francophones sont moins nombreux, moins riches et surtout qu'ils ne veulent pas se battre pour ce qu'ils se persuadent n'être qu'une petite concession, un détail qui apporter la paix communautaire, ils cèdent.
NB : le fdf est une exception mais alors il est présenté comme le fossoyeur de la Belgique.
Écrit par : xavier | lundi, 03 février 2014
Répondre à ce commentaireJuste pour info, le PIB de la Fédération Wallonie Bruxelles est plus important que celui des flandres et les "flamands", ou autrement dit, ceux qui souhaitent le flamand comme seule langue administrative, sont minoritaires en Belgique !
Mais dans tous les cas de figure, il est évident que nous ne devons plus accepter les lois linguistiques permettant une présence politique flamande en Région Bruxelloise ni celles favorisant une présence économique. Seule la Charte Européenne sur la protection des minorités doit être appliquée et même promue.
Écrit par : Philippe | mardi, 04 février 2014
Discussion négligeable: si la communauté qui prône l'ouverture d'esprit, le multiculturalisme et le vivre ensemble ne sait pas encore après tant d'années s'exprimer dans la langue de la région je ne sais pas qui doit se sentir offusqué.
Écrit par : xavier castille | lundi, 03 février 2014
Répondre à ce commentaireceux qui sont le plus offusqués au point de donner de la flandre une image de peuple médiocre, c'est ceux qui ne comprennent pas qu'un décret voulant interdire à un FR d'être FR rend les FR encore plus FR...
le plus rigolo c'est que les NL prétendent que les FR voulaient leur interdire d'être NL ce que les FR n'ont évidemment J.A.M.A.I.S même essayé de faire en belgique... ailleurs que dans les fantasmes flamingants si bien cultivés dans la partie de ce peuple qui s'aime tant, surtout médiocre.
Écrit par : uit 't zuiltje | lundi, 03 février 2014
Quelle prétention que d'oser prétendre que les francophones flamands ne savent pas pratiquer le flamands une des deux langues de cette région !
Quel mépris que d'oser feindre ignorer la présence de près de 6% de sa population.
Quelle ignorance que de na pas connaître sa propre histoire.
Quelle monstruosité que de s'en prendre aux plus faibles et plus encore aux enfants...
Comme flamingant de service vous ne devrez retenir que "petit esprit malsain à éradiquer au plus vite" car c'est bien la synthèse de ce qui est décrit..!
Écrit par : Philippe | mardi, 04 février 2014
@ uit 't zuiltje Vous avez raison: l'idée même d'avoir des communes à facilités n'était pas bonne si après tant de temps les habitants ne savent pas s'exprimer vis à vis de l'administration Flamande.
Rappelez moi qui a déclaré: "La Belgique sera Latine ou ne sera pas".
De plus essayez de vous relaxer ... je suis convaincu que la Flandre a besoin d'idées de droite comme de gauche. Ce choix doit être fait dans une circonscription électorale définie.
@ Philippe: "le Législateur flamand a décidé que cette affiliation ne peut se faire que lorsque le (la) responsable de la crèche est en mesure de présenter une attestation d'une connaissance active du néerlandais" ... est ce qui est écrit dans le texte. Donc si le (la) responsable connait le Néerlandais comme la plus part des francophones de Flandre (comme vous prétendez) je ne vois pas où est le problème.
Je réaffirme donc: discussion négligeable.
Écrit par : xavier castille | mardi, 04 février 2014
Je cherche des infos sur les minorités francophones historiques en Flandre. Pouvez-vous m'aider ?
Merci, d'avence ;-)
Écrit par : valer | lundi, 03 février 2014
Répondre à ce commentaire@Valer et voici les résultats pour les communes du Brabant (notamment flamand). On voit qu'à Hal, par exemple, il y a toujours eu une minorité francophone.
http://nl.wikipedia.org/wiki/Resultaten_van_de_talentelling_per_gemeente_van_de_provincie_Brabant#Halle
Écrit par : Marcel Sel | lundi, 03 février 2014
Bonjour @Valer
Les francophones c'est presque 6% de la population de la Région flamande
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Francophones_de_Flandre
http://www.ceff-sfv.be/fr/periodical.html
http://sites.uclouvain.be/rec/index.php/rec/article/viewFile/5761/5481
http://www.francophonie.be/ndf/main/fr/pgarfr/arfr370.html
Et pour plus d'info pratiques en périphérie:
http://www.carrefour.be/
Et en Flandre...
http://www.francophonie.be/ndf/indexfr.html
Écrit par : Philippe | mardi, 04 février 2014
... et si vous voulez remonter plus loins, cherchez des infos sur les Leliaerts (et les Klauwaerts) et le roi de France ;-)
Écrit par : lachmoneky | mardi, 04 février 2014
Pourquoi se limiter au Brabant ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Recensement_linguistique_en_Belgique#R.C3.A9sultats_des_recensements_linguistiques
La RTT dans les années 70 a été sommée de retirer d'abord les statistiques d'utilisation de l'horloge parlante puis a été contrainte d'en interdire l'usage du français en flandre...
Écrit par : Philippe | mercredi, 05 février 2014
@Valer : oh, j'ai dû écrire des choses dans mes livres sur le sujet (Walen Buiten et Les Secrets de Bart De Wever, toujours dispos sur commande) et sur ce blog (mais là, il faut chercher). Sinon, il y a les recensements linguistiques que vous pouvez trouver sur Wikipedia. http://fr.wikipedia.org/wiki/Recensement_linguistique_en_Belgique#Voir_aussi
Écrit par : Marcel Sel | lundi, 03 février 2014
Répondre à ce commentaireDe toute façon, avec les accord que l'Europe se prépare à signer (Accord économique et commercial entre l'UE et le Canada, l'Accord de partenariat transatlantique entre l'UE et les USA & l'Accord sur le commerce des services), cette obligation linguistique pourrait tourner en eau de boudin car "une disposition du réglement des différents entre états et investisseurs permettra aux multinationales de traîner en justice les gouvernement dont l'orientation politique aurait pour effet d'amoindrir leur profits" (Lori Wallach, Monde Diplomatique novembre 2013).
Bien sur, la nva est économiquement bien orientée pour maximiser le profit des gros au détriment des petits (flamands et autres) mais les gros sont avides et les tracasseries linguistiques serait un bon moyen de récupérer un max de pépette en plus lol
Écrit par : Rivière | mardi, 04 février 2014
Répondre à ce commentaireCyril Verschaeve, prêtre flamand collabo nazi et condamné à mort toujours présent sur le site d'Herman Van Rompuy. Impensable? Et pourtant...
Pour rappel, Herman Van Rompuy est le Président du Conseil européen !
Est-ce que les Catholiques Européens peuvent pardonner ce genre de déviances nauséabondes*... Honte à L'Europe et à ses délégations politiques d'admettre pareil homme en leur sein !
* quel autre mot choisir ?
"Sur son blog, le journaliste de Libération Jean Quatremer, spécialiste des questions européennes, pointe le texte d'un auteur flamand nazi et "antisémite forcené" -condamné à mort par la Justice belge mais qui est mort en exil en Autriche- publié sur le site de... Herman Van Rompuy, le président du Conseil européen."
Sources:
http://www.rtbf.be/info/medias/detail_jean-quatremer-denonce-une-reference-nazie-sur-le-site-d-herman-van-rompuy?id=8193152
http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2014/02/les-r%C3%A9f%C3%A9rences-litt%C3%A9raires-nazies-mais-flamandes-dherman-van-rompuy.html
Écrit par : Philippe | jeudi, 06 février 2014
Répondre à ce commentaire@ Philippe
Est-ce que les socialistes européens peuvent pardonner tous les crimes commis par des socialistes au nom du socialisme ? la déviance dont vous parlez a été commise par un catholique mais quel rapport avec le catholicisme ? il n'est écrit nulle part dans la bible que tout bon chrétien se doit d'être flamingant et nazi...
nazi = national-socialisme, remember ?
Et aujourd'hui le terme socialisme s'affiche sans le moindre remords.
Alors ? encore ce 2 poids 2 mesures pour casser du catho ? Ce blog devrait s'appeler : à bas la calotte. Au moins, on serait démocratiquement prévenu que la haine des cathophobes est halal/kacher sur ce blog.
Écrit par : cathophobie aigûe | jeudi, 06 février 2014
cathophobie aigûe .... Il ne s'agit absolument pas de "casser du catho" !
Je me suis peut-être mal exprimé...
Je me relis:
"Est-ce que les Catholiques Européens peuvent pardonner ce genre de déviances nauséabondes*... Honte à L'Europe et à ses délégations politiques d'admettre pareil homme en leur sein !"
Il s'agit d'abord pour les politiques appartenant au même groupe que le CVP, le parti d'Herman Van Rompuy, de se positionner par rapport à une déviance nauséabonde (un certain nationalisme flamingant fait de collaboration) ! Ceci est également valable pour l'ensemble des autres groupes politique européens... En ce y compris les socialistes.
Pour rappel, Cyril Verschaeve n'a de prêtre et de catholique que l’apparence car le fond est mauvais et une condamnation à mort en fût l'évidence même.
Franchement être catholique et/ou prêtre ouvre forcément la voie vers d'autres espérances me semble t'il. Mais manifestement pas pour Herman Van Rompuy et ses sbires !
Il n'y a dans mes propos rien mais absolument rien qui devrait pouvoir vous permettre d'y voir le moindre amalgame avec les catholiques dans leur ensemble mais bon, comme je l'ai déjà dit, Je me suis peut-être mal exprimé.
Sans rancune ;-)
Écrit par : Philippe | jeudi, 06 février 2014
Ras le bol !
Hendrik Vuye propose de tourner le dos à la Constitution pour réaliser le confédéralisme. Il est professeur de Droit Constitutionnel et payé par la Communauté française. Et refuse de parler à la presse francophone.
Franchement il est temps de le remercier pour sa participation active à la fin de notre pays en l'invitant à retourner en flandre, loin de la Fédération Wallonie Bruxelles !
Source
http://www.lesoir.be/420622/article/actualite/belgique/politiclub/2014-02-06/un-prof-droit-namur-candidat-n-va-malaise
Écrit par : Philippe | jeudi, 06 février 2014
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NB : Les commentaires de ce blog sont modérés.