Un blog de Sel

Ce dimanche 24 février, j'aurai le plaisir de rejoindre l'équipe de chroniqueurs d'On refait le Monde sur RTL-TVI, à 11h25 pour donner mon coup de gueule, réagir à ceux d'Emmanuelle Praet, Michel Henrion et Alain Raviart et commenter l'info, sous la direction de Georges Huercano.

Afin que les informations sur Indignés de Cons ne perturbent pas trop la lecture de ce blog, vous les trouverez désormais dans le blog de presse Indignés de Cons. Vous pouvez également y accéder à tout moment en cliquant sur le lien "Indignés de Cons - Blog" en haut dans la colonne de droite. Si vous êtes inscrit à ma newsletter, vous recevrez automatiquement celle d'Indignés de Cons. Eh, euh, aussi : "bon dimanche !"

Je serai ce dimanche à 17h sur La Première (RTBF radio)dans l'émission Rencontres de et avec Martine Cornil. L'émission porte un nom sans artifices. Il s'agit en effet d'une rencontre, une vraie. Pourquoi chercher plus loin. Martine vous invite à être le témoin de deux fois vingt minutes de dialogue radiophonique, à entrer dans l'intimité d'une conversation où les souvenirs remontent, où les questions sont plus personnelles. Martine Cornil aime le temps long et vous le fait apprécier. C'est même là que je me suis rendu compte que quarante minutes, quand on pose les bonnes questions, c'est terriblement court.

Vous pouvez écouter l'émission sur le web, en direct ou en podcast

Vous pouvez lire mon Opinion sur le rôle du citoyen sur le site de la RTBF. C'est une réflexion qui prolonge mon dernier livre (Indignés de Cons, La Crise expliquée aux Cancres et aux Économistes) et invite les électeurs, les citoyens, à sortir de leur torpeur et à redevenir le "citoyen demandeur". Bonne lecture !

Cet article n’a déjà plus de valeur journalistique : l’affaire est réglée. La STIB a fait amende honorable, et pas qu’un peu : excuses, blâmes sans équivoque pour les agents indélicats, retrait complet de la procédure au bénéfice de la femme harcelée. C’est donc plutôt une bonne nouvelle et, en général, on les réserve au classement vertical dans les rédactions. Ça n’attire pas franchement les lecteurs, hélas. Pourtant, cette info est trop intéressante à plusieurs égards pour la laisser dans sa corbeille. Pour commencer, elle montre que le harcèlement de rue n’est pas une exclusivité allochtone. L’histoire est édifiante…

Et voilà, mon quatrième essai sort demain. Il ne parle pas de la Flandre. Le titre ? Indignés de Cons - La Crise expliquée aux Cancres et aux Économistes, écrit en collaboration avec Karine Quarant-Schmidt. Je réserve évidemment les détails du contenu aux journalistes (conférence de presse demain jeudi 7 février à 10h. Pour plus d'infos, me contacter). Il sera disponible dès potron-minet dans les bonnes librairies, et pour fêter ça, je vous invite au cocktail de lancement qui aura lieu demain (jeudi 7 février, donc), à partir de 19h au Petit Filigranes, Parvis Saint-Pierre, à Uccle. Vous pourrez y acheter le livre, et je vous le signerai volontiers. Et comme la maison ne recule devant aucun sacrifice, je vous joins même le plan du jour ! À demain donc, si vous le voulez bien !

Agrandir le plan

Le Cri et la Renaissance du Livre crient au scandale, à la censure, à l’immonde entorse à la liberté d’expression. Ce matin, quelques journaux étaient en alerte rouge. Rendez-vous compte : Bart De Wever serait « interdit » à la Foire du Livre ! Rien que ça ! Je vous brosse le tableau que m’inspire cette information : monsieur De Wever se présente à l’entrée de la Foire, le dimanche où il veut prendre la parole, et le staff, pour l’empêcher de parler aux foules francophones qui attendent en hurlant leur amour au bourgmestre d’Anvers, appelle une vingtaine de cars de police pour faire entendre raison au malotru. Bart proteste, on l’arrête, on lui met les menottes, on le bouscule, on le conduit au Stade du Heysel où l’attendent des milliers d’autres refuzniks, tandis qu’aidée par un groupe d’espions américains envoyés par Henri Kissinger, Ana Garcia, la commissaire générale de l’événement, s’empare du trône d’Albert II et commence son dictatorat par la déportation immédiate des éditeurs qui auraient osé traduire Bart De Wever, dans la Pampa. Mais si, je vous jure…

Ce dimanche 3 février 2013, j'aurai le grand honneur d'être l'un des chroniqueurs d'On refait le Monde, présenté par Georges Huercano, sur RTL-TVI. C'est à 11h25. Et, scoop : je révélerai le titre de mon prochain livre, qui paraît ce jeudi 7 février aux éditions La Boîte à Pandore. À vos écrans !

D’après VTM, une majorité de Flamands (52 %) seraient pour la suppression de la monarchie en Belgique. Chez les Francophones, ce chiffre serait de… 22 %. C’est un peu l’Affaire royale à l’envers, qui a amené Léopold III à abdiquer en faveur de Baudouin 1^er. À l’époque, une majorité de Flamands étaient pour son retour en Belgique, contre une majorité de Wallons. Pour éviter un bain de sang, le monarque a pris acte de la scission entre les deux communautés et s’est retiré. Au grand dam d’un certain nombre de Flamands qui en ont conclu que, même quand la majorité de la majorité (flamande) souhaitait quelque chose en Belgique, c’est la majorité de la minorité (wallonne) qui gagnait. Bien sûr, la question n’était pas celle-là, mais bien celle de la stabilité belge. Et les flamingants n’étant de toute manière pas très royalistes (euphémisme), que Baudouin dirige le pays ou que ce soit Léopold ne changeait pas grand-chose pour eux, sinon rien du tout. Mais bon, un argument, même très hypocrite, est toujours bon à prendre.